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Mes flashes...mes humeurs

Les Jardins de Wesserling

"Nous n'aurons jamais fini de déplanter, d'arracher, de jeter au fumier des racines grecques, si nous voulons que notre prose ne ressemble pas à un jardin de curé janséniste" écrivait André Pieyre de Mandiargues.Les jardins de Wesserling, toujours en transformation, toujours neufs aux yeux du promeneur qui n'y sent pas l'austère rigorisme des adeptes de Jansenius, mais qui se délecte de la jolie rigueur des plantations perpétuellement renouvelées, ces jardins où l'Alsace transforme de tristes sites industriels en enchantement pour le flâneur, autorisent ainsi l'oubli du "tripalium" au profit de la légèreté.C'est un livre dans lequel nous pouvons écrire notre propre chemin, un lieu où nos rêves se fondent en un présent riche tant du passé que du non-accompli, un monde intime et pourtant partagé.Jacqueline Bastide

"Nous n'aurons jamais fini de déplanter, d'arracher, de jeter au fumier des racines grecques, si nous voulons que notre prose ne ressemble pas à un jardin de curé janséniste" écrivait André Pieyre de Mandiargues.Les jardins de Wesserling, toujours en transformation, toujours neufs aux yeux du promeneur qui n'y sent pas l'austère rigorisme des adeptes de Jansenius, mais qui se délecte de la jolie rigueur des plantations perpétuellement renouvelées, ces jardins où l'Alsace transforme de tristes sites industriels en enchantement pour le flâneur, autorisent ainsi l'oubli du "tripalium" au profit de la légèreté.C'est un livre dans lequel nous pouvons écrire notre propre chemin, un lieu où nos rêves se fondent en un présent riche tant du passé que du non-accompli, un monde intime et pourtant partagé.Jacqueline Bastide

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